top of page
Mangez local, lisez local !


Nouveautés

L’histoire d’une famille, de Bruxelles, de la Belgique, du quotidien, de la vie. Une fresque magnifique !
La maison des biscuits, c’est celle qui est ouverte en permanence, réconfortante, allumée le soir, où pulsent des vies. Elle est le décor de ceux qui y sont nés, qui l’ont quittée, qui y sont revenus, et de celle qui y a toujours vécu.
Malu y grandit, à Bruxelles, entourée de ses soeurs et bercée par les récits de voyage de son père, parti clandestinement au front en 1914. En enseignant le piano, elle développe un instinct farouche de protection des enfants. Devenant mère à son tour, elle n’aura de cesse de préserver son clan, en gardant un œil tolérant mais attentif sur un monde euphorique où tout s’accélère et où ses repères traditionnels se dissolvent.
Une saga familiale qui raconte la vie, les remous du XXe siècle en Belgique, dans l’universalité de l’intime, le merveilleux du quotidien.
Après le bestseller Zebraska, Isabelle Bary propose un roman décoiffant, pourfendant les préjugés sur la liberté au féminin.
La vie d’Adèle Carlier, 52 ans, lui échappe peu à peu : ses enfants quittent le nid, sa mère se fane tout comme sa carrière, et son mari continue à tracer sa route, négligeant ses états d’âme. Adèle se sent vieillir, devenir transparente et inutile. Des bouffées de chaleur aux publicités ciblant la femme quinqua, tout le lui rappelle. Qui est-elle vraiment, hors de sa tribu ?
Un matin, lassée d’attendre son homme toujours en retard, elle prend seule l’avion à destination de Lyon. Envolée sur un coup de tête pour s’affranchir du monde, Adèle en découvrira un autre sur le chemin qui la mènera jusqu’en Espagne, composé de personnalités égarées, chacune dans sa propre quête de sens.
Jusqu’où Adèle devra-t-elle transgresser ses principes pour apprivoiser sa propre liberté, à l’automne de la vie ? À moins qu’il ne s’agisse d’un second printemps…


Pittoresques, historiques, conviviales :
57 places pour flâner à Genève !
Mettons tout de suite les choses en place ! Si vous ne tenez pas en place, si vous ne supportez pas de faire du surplace, si vous aimez déambuler de place en place, alors, entre vos mains, ce livre a trouvé sa place. Vous l’avez compris, nous partons à la découverte des places de Genève, en spirale du centre à la périphérie, de la ville à la campagne. Mesdames et messieurs, prenez place ! Place du marché, place de la gare, place de l’église, c’est le centre du quartier, le lieu de rencontre, de convivialité, de vie. Une place, c’est là où il y a de la place, c’est the place to be. Parfois, on les appelle rond-point, esplanade, square, cour et, à Genève, il existe même un plateau, un perron et surtout une plaine, ainsi qu’un rondeau qui, lui, est à Carouge. … Et maintenant, place aux PLACES !
Après avoir « écouté l’original », lisez l’original : découvrez les coulisses de la naissance de Classic 21 !
Plongez au coeur de l’aventure et de la création de Classic 21 avec Marc Ysaye, l’homme qui a révolutionné le paysage radiophonique en Belgique. Dans ce livre captivant, il partage son parcours unique, ses rencontres inspirantes et les défis qu’il a dû relever pour faire de Classic 21 « LA » référence en matière de classic rock, un genre encore méconnu en Belgique en 2004.
Entre anecdotes savoureuses et réflexions profondes, Marc Ysaye dévoile les coulisses de la création de cette radio culte et les secrets de son succès. Le tout entre amitiés sincères, moments de bonheur absolu, mais aussi passages difficiles. La vie, quoi !


Avec beaucoup de pudeur et de poésie, Bernard Gilson nous propose un voyage musical où s’invitent Schumann, Chopin, Balakirev et Scarlatti. Il nous rappelle surtout la force tranquille des lieux, qui soude la famille, entretient les amitiés et forge les relations amoureuses.
La vie de Clémentine Douaumont est indissociable de L’Étoile de Mer, l’hôtel-restaurant tenu par ses parents, David et Lieve. Un établissement familial typique de la mer du Nord, blotti entre les dunes et les bois de l’arrière-pays. C’est dans cet environnement qu’elle connaît ses premiers amours de vacances et apprend à jouer du piano, un instrument qui va changer le cours de son existence. Les années de conservatoire et la succession des concerts font rapidement d’elle une artiste à part entière. D’Ostende à Florence, en passant par Bruxelles, la jeune femme écrit aussi sa partition intime, une mélodie douce-amère façonnée par une série de rencontres décisives. Et toujours, dans l’adversité ou les moments de bonheur, elle retrouve le chemin de L’Étoile de Mer, ce microcosme qui résiste à l’usure du temps.
Pour le désir d’une reine explore avec subtilité et dans une langue maîtrisée, tour à tour poétique et humoristique, les mystères de l’amour, de la mémoire et des relations humaines.
Puisque je te disais mon désir de t’épouser, tu tenais à ce que je l’écrive. Noir sur blanc. Avec constance et dévotion. Chaque matin quelques lignes, pendant un an. Et l’année qui s’annonçait serait bissextile : 366 matins à te coucher sur le papier, à marquer d’une trace que je pense à toi. Que je persiste dans mon fantasque dessein d’aimer une Femme-Reine.
De tous les mots qui allaient suivre sur une si longue période, seuls les trois derniers étaient déjà fixés dans mon intrigue. Mais d’ici là, je souhaitais inventer une poésie particulière, qui te dirait mon émerveillement de vivre. De vivre à tes côtés. De vivre à ton approche. À travers une poésie qui te donnerait envie de devenir ma femme, ma reine. Un jour. Peut-être ?

bottom of page